Le jardin est un endroit propice au ressourcement. Aux beaux jours, celui-ci devient un lieu de pratique de sophrologie.
Il ouvre à mon sens une jolie porte sur l’œil neuf et dénué de jugement que pose le sophrologue sur ce qui l’entoure.
Végétation et animaux se tiennent si loin des a priori !
Il permettra de pratiquer « à l’air libre », avec le souffle d’une brise légère sur la peau, dans les effluves de chaque saison, au chant des oiseaux, au murmure des fontaines,
et peut être aussi dans l’effleurement d’un chat qui viendrait se frotter contre les jambes.
De quoi enrichir son ressenti et son ouverture au monde.
Un moment d’été et de demi-saison à partager.